LUC ANTOINE

ARCHITECTE FENG SHUI

Architecte diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de La Cambre, à Bruxelles, je me suis passionné pour le feng shui dès la fin des années ’80.

Je me suis particulièrement intéressé à une de ses deux branches qui est l’Ecole des Formes et qui, comme son nom l’indique, vise à déterminer l’énergie des lieux en observant les formes de l’environnement et des constructions qui y sont implantées.

A l’origine, le feng shui chinois – qui fut inspiré par le taoïsme et dont le nom signifie vent et eau – s’intéressait principalement à l’énergie des lieux et des constructions ; l’expert en feng shui était d’ailleurs souvent représenté arpentant un terrain à la recherche des veines d’énergie. Ce n’est que bien plus tard que cette pratique intégra la décoration.

Le feng shui m’a passionné parce qu’il nous invite à considérer l’architecture et les constructions qui nous environnent – et, par là-même, leurs habitants et leurs utilisateurs – avec un point de vue plus subtil. Il faut dire que nous vivons à une époque où tout va très vite et où les préoccupations concernant justement la construction et l’architecture se résument souvent à des questions quantitatives de superficies et d’argent. Le feng shui, associé à l’architecture, nous rappelle l’importance du qualitatif et nous permet d’œuvrer très concrètement tout en incluant sa dimension énergétique bénéfique.   

POURQUOI J’AI ADAPTÉ LE FENG SHUI ?

En me plongeant dans l’expérimentation du feng shui, je me suis rendu compte rapidement qu’il était nécessaire de l’adapter à notre époque et à notre mode de vie actuel. C’est ce que j’ai fait en créant le feng shui à l’occidentale et en y intégrant des aspects liés à notre culture.

J’ai opté, par exemple, pour les 4 éléments issus de la Grèce antique (feu, air, eau, terre) en lieu et place des 5 éléments chinois (feu, eau, bois, métal, terre). Et j’ai également intégré des aspects psychologiques et symboliques contemporains dans ma pratique d’architecte feng shui, ce qui m’a conduit notamment à développer le concept de maison-miroir.

L’adaptation du feng shui à l’occidentale et la création du concept de maison-miroir, que je viens de vous présenter brièvement, contribuent à apporter davantage de bien-être aux habitants et aux utilisateurs des lieux, tout en l’associant à l’architecture, surtout pour une construction neuve.   

Cela m’a amené à publier, en 2000, mon premier ouvrage :
La Maison-Miroir ou le feng shui à l’occidentale
(voir page Livres)

LA MAISON-MIROIR

L’idée de la maison-miroir est que l’habitant peut mieux se connaître grâce à son lieu de vie. C’est une invitation à décrypter ce que notre maison nous dit de nous-mêmes, lorsque nous l’observons à travers le prisme de l’énergie. Cette démarche permet de découvrir nos vraies aspirations. Cela s’avère très précieux si nous souhaitons réaménager ou rénover notre lieu de vie, par exemple.

On pourrait résumer le concept de maison-miroir par cette phrase : « En transformant notre maison, nous nous transformons nous-même ! Et en construisant notre maison, nous nous construisons nous-même ! »

MES ACTIVITÉS

Mon activité principale est celle d’un architecte feng shui c’est-à-dire que j’interviens pour des expertises ou pour accompagner mes clients dans la réalisation de leurs projets : transformations ou constructions neuves.
(voir pages Expertises et Projets)

Je suis également auteur de 4 ouvrages : 3 ouvrages qui concernent directement l’architecture et le feng shui et une quatrième qui est un roman initiatique.
(voir page Livres)

Blanco

J’anime également des conférences et des visites pour mettre en avant l’énergie et l’architecture de certains lieux (villes ou villages) ; ainsi que des formations de groupe. (voir page Actualités)

Enfin, je propose aussi des formations individuelles pour lesquelles, si vous êtes intéressé, je vous remercie de me contacter directement.